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Téléfibrinolyse en Bourgogne

22.10.2013
La pathologie doit être considérée comme une hyper-urgence: 400000 Français souffrent des conséquences d’un AVC et 130000 nouveaux cas se déclarent chaque année. En Bourgogne, région essentiellement rurale aussi grande que la Belgique, 4500 personnes sont touchées. Parmi elles, 40% ne voient aucun neurologue en urgence. Disposant seulement de deux unités de soins intensifs neuro-vasculaires, à Dijon et Chalon-sur-Saône, la région enregistre une surmortalité par AVC. Seul traitement efficace, la téléfibrinolyse s’est imposée comme une priorité de santé publique, grâce au rt-PA administré dans les quatre heures qui suivent l’arrivée aux urgences. Les résultats obtenus démontrent la faisabilité de la télémédecine et sont les prémices de nouvelles pratiques professionnelles. --------- Marie HERVIEU-BÈGUE, Maurice GIROUD, Réseau Bourgogne-AVC et unité de soins intensifs neuro-vasculaires, CHU Dijon, Michèle SÉRÉZAT, Thierry HABERT, société Ysthme, Paris ; Bertrand LE RHUN, Corinne SCHOULER, ARS de Bourgogne, Dijon ; Cyrille POLITI, GCS-e-santé Bourgogne, Chalon-sur-Saône ; Agnès LEURET-BARONDEAU, service des urgences, CH de Chalon-sur-Saône ; Bertrand JEANMOUGIN, service des systèmes d’information, CHU de Dijon ; Marc FREYSZ, Samu 21, Dijon

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